En passant, en fin de séjour et par un effort - le délibéré étant porteur des deux résultats potentiels : on l'appellera effort, ou forçage, selon succès ou ratage [ce qui est intéressant, c'est tout l'espace d'interrogation, souvent pénible, pour déterminer si succès : c'est toujours par l'invention, pendant et après-coup, des valeurs frayées ; le succès se détermine, radicalement précaire, après et souvent péniblement tardivement].
En passant, en fin de séjour et par un effort, du sony an canon, note sur le format (bien question des moyens, bien plastiques, visuel/théatron question as ever), qui se révèle être sur une qualité de temps. Le sony : vignette, note instantané, pénétration immédiate, et avec une perdurabilité de l'ordre du bonheur, ou de la question superficielle, éventuellement gadget, jeu. Egratignure. Le canon : la contrainte d'un temps (une gravité) de considération. Une lourdeur qui est une qualité exigée de l'attention. Y compris le travail de laboratoire numérique après-coup, comme déroulement. Mais aussi : la proportion de largeur du canvas, que j'ai trouvé déroutant et qui m'embarrasse toujours en partie. Nécessitant un récit, un drame plutôt qu'une scène. Evocateur de la différence de tonalité entre nouvelle et roman. Entre mot et phrase. La responsabilité de la phrase, qui engage autrement et profondément.
En passant, en fin de séjour et par un effort, du sony an canon, note sur le format (bien question des moyens, bien plastiques, visuel/théatron question as ever), qui se révèle être sur une qualité de temps. Le sony : vignette, note instantané, pénétration immédiate, et avec une perdurabilité de l'ordre du bonheur, ou de la question superficielle, éventuellement gadget, jeu. Egratignure. Le canon : la contrainte d'un temps (une gravité) de considération. Une lourdeur qui est une qualité exigée de l'attention. Y compris le travail de laboratoire numérique après-coup, comme déroulement. Mais aussi : la proportion de largeur du canvas, que j'ai trouvé déroutant et qui m'embarrasse toujours en partie. Nécessitant un récit, un drame plutôt qu'une scène. Evocateur de la différence de tonalité entre nouvelle et roman. Entre mot et phrase. La responsabilité de la phrase, qui engage autrement et profondément.