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vendredi 1 novembre 2024

samedi 15 juin 2024

récit


Celle-ci manquait. 
Comment je ne l'avais pas vue ? Voir. Ses réjouissances. Il s'agit des couleurs, du praticable (des couleurs comme praticable ?) et du désir.

dimanche 28 janvier 2024

J M Cameron


©️ au Jeu de Paume

Julia Margaret Cameron


 ©️au Jeu de Paume

vendredi 26 janvier 2024

jeudi 24 août 2023

dimanche 4 décembre 2022

scene, chorégraphie

J'en suis à ces scènes, petites suites presque statiques, à peine un mouvement social, de "gens".

Et à la grâce des gestes, attitudes, ports de tête et mains, épaules dans le froid peut-être, relations écrites dans les corps vécus, un instant. Et devant des passants, la photographie peut faire partie de ce passage, passantage. Les "gens" parlent, on n'entend qu'une rumeur, un rapport. Quelque chose d'Anon. Pourquoi cette passion exactement ? Les "gens" sans l'indiscrétion de l'identité.

Chorégraphie, souvent un mot qui vient en tête.

Aussi, la photographie et le silence - ou rumeur, c'est autant. Quelque chose en ça. Il s'agit d'un langage en écoute ambiante, en dehors de ses articulations : rapport simplement peut-être. Ce qui passe de social.

jeudi 28 avril 2022

Expositions de printemps

  • Pionnières : Artistes dans le Paris des Années folles, Musée du Luxembourg 
  • Ce Monde qui nous regarde : 15 ans de l'Agence Noor, BNF
  • L'Aventure Champollion : dans le secret des hiéroglyphes, BNF
  • Judith Joy Ross : photographies 1978-2015, Le Bal


lundi 15 mars 2021

chez


 

jeudi 17 septembre 2020

portraits


 

portraits

 



vendredi 17 juillet 2020

dimanche 10 juin 2018

Jaurès

Enfin hier, la possibilité de rejoindre le groupe/l’initiative des photos pour les exilés arrivés à Paris et lancés dans la course au statut. Parcours, combattant. Remarques :

. le lieu ne se donne pas, puisqu’il se vole. Sa logique est d’être présent et repérable dans un code parallèle à celui de l’ordre public et d’en ses publicités. Où est-ce ? Je comprends que c’est autour de la porte de France Terre d’asile, for one. Je sillonne. Comment je comprends, par la géographie. Je vois des cars de CRS en veille. Les gens dans les rues, sur le pont, les berges, d’esplanade devant le bassin (curiosité, nota, co-historique : jour d’un festival écologique, brochettes, festivité, concert open air, déguisement, dont pour le défilé manif, où je retrouve un groupe singulier dans le flot des blancs bourgeois et bohème, Coordination des sans-papiers) très mêlés. Espace carrefour de Jaurès. Femmes roms qui passent, jeunes hommes seuls en uniforme de transfuge, incertains, statiques dans l’espace que d’autres traversent vers. On apprend à l’habiter - ou plus précisément on apprend qu’on l’habite. Que c’est ici. L’histoire se présente ici. « Comme ça ».
Je chercher sur les berges, vers l’esplanade (pôle lumineux, alors que c’est bien sûr au pôle crade, et au point de veille du car CRS que ça se passe). Je reviens vers le seul groupement de gens autour d’un banc, ensemble ou pas ensemble indistinctement. Je vois la scène que j’attendais : deux femmes du côté de l’appareil, un jeune homme, visage doux et incertain, traits de grande jeunesse et identité fluide aux aguets , mains d’homme et bague orientale, se donne de front. On lui a demandé de plier les genoux pour la pose, à hauteur de photographe. Une jeune femme est aussi là, maraude de FTDA, recherchant les individus les plus exposés, mineurs etc. Elle passe, mais elle est avec une famille parents bébé, le camion FTDA les emmène. L’initiatrice du projet photo est croate. Douce, expérimentée, ouverte à parler alors qu’elle doit être, ici mon imagination, pompée de répéter, d’engager le discours. Je pose des questions, on chercher à me situer, journaliste ?, ah université, les migrants devenus exilés de P8, Tolbiac et les occupations universitaires. Maille, ici encore.

. comment l’entrée, commencement, processus  : ici je récolte les premières informations de réseau, les premiers repères de terrain. Associations identifiées, pratiques montrées et évoquées, témoignage direct, corps des gens engagés dans. Les dicibles et Vraisemblables. Il y a les effets d’étrangerunsurprising : une photographe parisienne, peut-être retraitée, une jeune femme croate parlant français et anglais, une jeune femme étudiante latino-américaine peut-être. Il y a la présence de l’université, ou est-ce plutôt des étudiants ? Ayant participé aux mobilisations. Il y a le croisement des mouvements et revendications - et même le croisement des états d’exclusion nationale : sans-papiersréfugiésRoms et petits vendeurs de rue aux habitus immigrant et clandestin. Croisement et générations historiques successives, coprésentes.

. Naeem, Pashto de Peshawar, me montre son dossier, uniforme également (cahier de pochettes transparentes, documents recueillis avec soin administrtif et porté sur lui) et son « récit », une page calibrée, disponible en français et en anglais. Je vais lui indiquer la porte pour le DU de P8. J’apprends que initiatives similaires à Nanterre et (sélectivement, c’est la signature), Sciences Po.

Qu’est-ce qu’on photographie ? Pauvreté des photos produites, mais cette pauvreté montre. Une qualité du visible de cette vie contemporaine, partagée à l’interface parisienne.

dimanche 29 octobre 2017

Surprise, contd.

Je note avec curiosité que l'autoportrait quotidien auquel je me suis essayée ces dernières semaines ont entraîné un effet inattendu et un peu queasy : piégée par le chemin qui conduit toujours facilement au dépressif des "coulisses du signe". La défiguration, le décontenancement, comme épreuve du dé- seulement, alors que c'est le re-, et ses libertés, ses accélérations de liberté, qu'il s'agit d'inviter.
Facile de perdre ce fil. Que le dé- ouvre à l'interstice, et se soustrait à la surveillance, oeil-de-Caïn. Soit tout en passage, en hermine. Vers Anon., tiens. Et ses mobilités.
C'est plus facile à concevoir qu'à vivre, faire, experience, pour ce qui s'agit de l'autoportrait, sans doute. Epreuve closest to the bone.

Fertilité du journal et ses longues ramifications qui font écheveau de 11 ans de parcours photo-micrographique : au moment d'inviter les connexions et de passer au tissage, je me rends compte que oui, Surprise vient bien se brancher aux "photographiés". A "chez", plus facilement - c'est-à-dire moins en "se travaillant".

Impatiente du chantier de travaux qui bloque mon accès à ordinateur et LightRoom depuis deux mois. Le blocage photographique concurrencé par celui-ci, circonstanciel.

mardi 12 septembre 2017

Surprise

Tiens, j'ai commencé une nouvelle pratique, mini et tâtonnante, autour de l'autoportrait. Daily. J'ai le mot "surprise" en tête - il s'agit du décontenancement.

Je vais laisse "surprise" en suspens, en cours, le temps qu'apparaisse sa valeur ou, toujours possible, son inanité narcissique. Et je vais photographier, voir par où ça tourne.

vendredi 16 décembre 2016

Portrait prompt

"Regarde les gens qui vont regarder ta photo."
Ce qui décentre, désobnubile, le face à face avec le photographe. Pour une place de la photo, une place photographique, qui soit de passe. De profil, de passage.

samedi 26 mai 2012

Portraits

Let sitters choose how they would like to be photographed.

vendredi 7 octobre 2011

Bill Hunt, Unseen Eye

sur Lightbox :  

http://lightbox.time.com/2011/10/05/bill-hunts-unseen-eye/#1Read more: http://lightbox.time.com/2011/10/05/bill-hunts-unseen-eye/#ixzz1a5rS476Y

mercredi 5 octobre 2011

Richard Renaldi, Touching Strangers

Sur Lightbox : "The Science of Awkward, Human Interaction in America".

http://lightbox.time.com/2011/10/04/strangers-touching-by-richard-renaldi/#1Read more: http://lightbox.time.com/2011/10/04/strangers-touching-by-richard-renaldi/#ixzz1ZwBIL3oO