mardi 31 juillet 2012

dimanche 29 juillet 2012

mercredi 25 juillet 2012

jeudi 19 juillet 2012

projets photographiques - recherche

Il s'est passé quelque chose d'intéressant - it did feel momentous, of-the-now, a sudden freeing of the imagination, in the slightest of shifts - quand je me suis trouvée devant un choix entre deux usages d'une semaine, en contexte de temps compté : compter sur elle pour écrire, ou m'appuyer sur elle pour engager dans la photo. Le livre ou les bibliothèques. Sensation de l'identité des projets, et de l'identité des investissements nécessaires ou souhaités pour les conduire.
On peut, donc, entreprendre les bibliothèques comme on entreprend un séminaire ou un chapitre. On peut passer dans une telle vie. C'est le même travail. Avec des assises sociales également complexes, et le même (en quantité) travail de positionnement social, bah, fatigue. Qu'est-ce exactement qu'il se passe quand on fait la bascule ? Étrange développement de l'exit, après beaucoup de loyalty (à la colle) et de très peu de voice, par panique (avec qui parle-t-on ?).

Ce qui m'amène aussi à un puzzlement inusité : de quelles pratiques du global et du détail s'agit-il ? Pratiques du bloc et du rapport, sans doute la le continu entre ce qui pourrait sembler un paradoxe : parce que 'détail' en photo n'est jamais que 'bloc', et revue des objets par leurs articulations, et que 'système' en recherche est toujours poussé vers les connections sous les totalités et contre elles. Pour les tenir mobiles, par exemple en les comparant.

mercredi 18 juillet 2012

Photographie et peuple

La photo comme entrée, et les recherches sur le peuple (passions jumelles): il s'agit peut-être avec la photo de courcircuiter les thickets de rapports de pouvoir et les systèmes de légitimation, opaques et intimidants (i.e. je n'y suis pas), et de : cut through. La photo comme coupe de la parole, et de ses nexus de pouvoir - certainement comme un silence.
La photo comme entrée dans des situations, comme étrangère. Dehors et drame, passion, de l'entrée. (Approche, écoute, c'est-à-dire s'offrir comme adoptable?) Il y a quelque chose du nostalgique : rêver un rapport vierge et à nu, sans histoire. Il y a aussi autre chose, du traversier et du passage : critique, enactment d'un savoir intime, intérieur ("the interior life of politics", Laura Pulido), de la labilité, du très-fragile, du ras où se fait le social.

De même l'art, ou la culture, ou : interruption, en-travers, des jeux sociaux. Pragmatique de la situation : son observation, son modelage, ses expérimentations. Aux risques : car il y a aussi la densité des socialités de l'art, ses règles d'autant plus contraignantes qu'elles sont sous-institutionnelles et pragmatiques. Le pouvoir y a un cours très particulier. La photo par exemple, ou toute activité d'art : à la fois se lance dans une utopie, s'occupe de façonner, de projeter son utopie (faire son public), et mise sur le désert, ou les fils, les tranches, découpées dans la critique. Espaces gagnés, pour la simple libération, ou : la vie. Et, rencontre sa tâche immédiatement, une responsabilité - puisque public il y a, et transsujet, désiré - de public. D'institutionalisation.

Constant self-institution.

lundi 16 juillet 2012

studio

Beauty, lit!

Or is it, vice versa.

samedi 14 juillet 2012

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institutional


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study of gray

So much learnt from last lighting class - there's going to be much to unravel, much paying attention to what will float into understanding in subtle, under-articulate volutes.
There's the cumulative experience of 3 days' setting up and patterning. But the smallest first degree of independence also. Designing.
The study of gray: simple 2 lights setup, one umbrella bounce at 45° front, and one grid "hair" light at diagonal also, onto the skirt - dessine le contour de chaque forme, chaque muscle, en highlight. The loveliness of the model, the dance clothes, the colour range. The coherence of the background, clothes, light quality and combination.The sharpness, slight drama, of the light (no softbox, a slight feel of the stage).

mercredi 11 juillet 2012

editing

J'aime le travail d'édition, qui s'étend et s'approfondit avec la pratique : par haine de l'absolu. Qui ne (me) dit rien.
L'édition : qui fait voir voir voir. Qui appelle, tient en appel. Qui fait le "c'est là".
(Et épuise.)

samedi 7 juillet 2012

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new camera new eye - anything new ?

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