jeudi 19 juillet 2012

projets photographiques - recherche

Il s'est passé quelque chose d'intéressant - it did feel momentous, of-the-now, a sudden freeing of the imagination, in the slightest of shifts - quand je me suis trouvée devant un choix entre deux usages d'une semaine, en contexte de temps compté : compter sur elle pour écrire, ou m'appuyer sur elle pour engager dans la photo. Le livre ou les bibliothèques. Sensation de l'identité des projets, et de l'identité des investissements nécessaires ou souhaités pour les conduire.
On peut, donc, entreprendre les bibliothèques comme on entreprend un séminaire ou un chapitre. On peut passer dans une telle vie. C'est le même travail. Avec des assises sociales également complexes, et le même (en quantité) travail de positionnement social, bah, fatigue. Qu'est-ce exactement qu'il se passe quand on fait la bascule ? Étrange développement de l'exit, après beaucoup de loyalty (à la colle) et de très peu de voice, par panique (avec qui parle-t-on ?).

Ce qui m'amène aussi à un puzzlement inusité : de quelles pratiques du global et du détail s'agit-il ? Pratiques du bloc et du rapport, sans doute la le continu entre ce qui pourrait sembler un paradoxe : parce que 'détail' en photo n'est jamais que 'bloc', et revue des objets par leurs articulations, et que 'système' en recherche est toujours poussé vers les connections sous les totalités et contre elles. Pour les tenir mobiles, par exemple en les comparant.