Moment malheureux hier à commencer à explorer le projet chez /bibliothèques : c'est qu'il y a cette bifurcation des temps à passer (comme dans les séquences de la voix lyrique, il faut apprendre ces glissements, ces débrayages), entre photographier pour voir et photographier pour donner à voir. Pour prendre ce qui est déjà vu, un sens déjà composé et qui n'est donc pas dans le temps du cliché comme révélateur explorateur.
Il y a un malaise à programmer la photo, mais sans doute il faut le prendre de front, et le traverser, le passer. Voir comment ça passe (si ça). C'est certainement une étape, un cran. Une transformation. Demandés. Une montée en culture, vaulting over the personal. Montée en public.
Le temps du 'projet' : multiple bien sûr - temps de la prise, temps du projet (temps poétique, de semantisation, avec ses accélération et ses latences), et ce temps difficile, contrary, du programme.
Il y a un malaise à programmer la photo, mais sans doute il faut le prendre de front, et le traverser, le passer. Voir comment ça passe (si ça). C'est certainement une étape, un cran. Une transformation. Demandés. Une montée en culture, vaulting over the personal. Montée en public.
Le temps du 'projet' : multiple bien sûr - temps de la prise, temps du projet (temps poétique, de semantisation, avec ses accélération et ses latences), et ce temps difficile, contrary, du programme.