mercredi 14 décembre 2011

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Décembre, Delhi


well,


Photographie, Inde

Aussi, très nettement, ce que c'est que photographier, ici. Comme étranger. Comme femme, avec cet âge, cette physionomie. Très fermement située par ce que "la société" (les gens dans la rue, sur le campus, dans les magasins, dans les institutions non universitaires où je suis en civil et en étrangère) encode pour moi.
Rapport de regard très marqué, ici.
Interrogeant les classiques "photographiques", pour public touriste, voyageur, média, culturel. Très fort.

Tout, donc, ce que je ne peux pas photographier ; ne photographie pas. Tout ce à quoi je n'ose pas me confronter. (Le réflexe, voir des photos, ne vient pas. Ce n'est pas de l'ordre d'une censure.). Rentrer dans ces rapports. Comment?  Pourquoi exactement? Pourquoi, quel projet donc, dans les photos publiées dans les circuits étrangers? Et locaux?
Voir les pratiques photographiques ici, alors. Comment trouver la trace de ces mises en problème? Autrement que des participations à "l'art contemporain" (international, vulgate - qui a sa légitimité propre, mais qui est occupé à ses affaires), à l"histoire de la photographie en Inde", au reportage du Développement ou de la glorification de "l'Inde", etc.

KC Market




























Les agrafes, d'existence. Photo.
Passer ces choses par le corps (un nom, pour un lieu de pratique quotidienne ; un lieu-vie familier), les passer par la publication.

" of my son? "


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