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Walter Sickert

Plein les yeux, éblouissant. Walter Sickert Peindre et transgresser, Petit Palais.

Et l'excellence du travail de commissariat. Longue vaste exposition, thématisée, nourrie de regards (Whistler, beaucoup, un nu de Lucian Freud). Mais densité des textes des cartons, dont analyse picturale directe, technique. 

 

Palais

 

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cliché

 

scene, chorégraphie

J'en suis à ces scènes, petites suites presque statiques, à peine un mouvement social, de "gens".

Et à la grâce des gestes, attitudes, ports de tête et mains, épaules dans le froid peut-être, relations écrites dans les corps vécus, un instant. Et devant des passants, la photographie peut faire partie de ce passage, passantage. Les "gens" parlent, on n'entend qu'une rumeur, un rapport. Quelque chose d'Anon. Pourquoi cette passion exactement ? Les "gens" sans l'indiscrétion de l'identité.

Chorégraphie, souvent un mot qui vient en tête.

Aussi, la photographie et le silence - ou rumeur, c'est autant. Quelque chose en ça. Il s'agit d'un langage en écoute ambiante, en dehors de ses articulations : rapport simplement peut-être. Ce qui passe de social.

scene

 

coffee-shop lives

 

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early December, weekend

 

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